Élaboré pour la période allant de 2016 à 2020, le troisième plan de santé au travail insiste sur la notion de prévention primaire, qui constitue l’un de ses objectifs clés.
Sur les précédents plans du même type, toutes les actions s’orientaient du côté de la « réparation », lorsque l’accident du travail s’était déjà manifesté, ou que la maladie professionnelle avait dévoilé ses premiers symptômes.
Aujourd’hui, estimant que la prévention primaire est à la fois profitable pour les salariés et rentable pour les entreprises, ce nouveau plan de santé au travail décline des conduites à tenir pour optimiser les conditions de vie au bureau, à l’atelier, en restauration ou encore dans le BTP — et dans tous les autres secteurs.
Les deux axes principaux du plan de santé au travail
La prévention primaire et la culture de la prévention
Par rapport au second PST, le troisième plan de santé en travail renverse totalement les priorités : ici, on axe toutes les stratégies sur la prévention, avant même de penser à la réparation (bien qu’elle continue d’exister).
En réalisant un état des lieux des conditions d’exercice de chaque employé, on peut lancer des processus de prévention et y associer tous les acteurs, afin d’initier une véritable « culture de la prévention ».
Tout le monde doit prendre part à cette évaluation des risques : elle ne relève pas seulement de la compétence des managers et autres responsables des ressources humaines, mais elle appartient à tous les travailleurs, des salariés aux dirigeants.
Ce plan de santé au travail, en insistant sur la notion de prévention primaire, met surtout la priorité sur l’usure professionnelle et la pénibilité, deux handicaps profonds qui nuisent autant aux salariés touchés qu’à leur entreprise, se trouvant logiquement face à des arrêts de travail répétés.
Pour mettre en place cette culture de la prévention, on identifie précisément tous les risques auxquels les employés sont exposés.
Par exemple :
- dans le BTP : on s’intéresse aux chutes
- dans le transport : on souligne davantage la dominance des risques routiers
- dans les métiers de l’hôtellerie-restauration : on développe des politiques contre les risques chimiques, notamment liés à l’usage de produits d’entretien agressifs pour les cuisines (un souci également présent dans le milieu automobile, où l’on côtoie quotidiennement des peintures, des hydrocarbures ou encore des solvants).
Toute prévention des risques se montrera infructueuse si elle n’est pas envisagée dans la perspective de chaque entreprise, car chaque structure rencontre des problématiques différentes.
Selon le secteur dans lequel on se trouve, les maladies chroniques peuvent être respiratoires ou articulaires (troubles musculo-squelettiques) — alors même que le stress et l’exposition à un public sensible, quant à eux, sont des facteurs pesant sur les risques psychosociaux. En bref, tout plan de santé au travail doit débuter par une évaluation des risques, avant de mettre en œuvre toutes les actions de prévention primaire nécessaires.
L’amélioration de la qualité de vie au travail
Loin de se contenter d’identifier et de prévenir tous les risques au travail, de diminuer la pénibilité et de limiter les risques de contracter des maladies professionnelles, ce troisième plan de santé au travail insiste également sur la qualité de vie pour les travailleurs.
En effet, plus le niveau de la qualité de vie au travail est haut, plus les salariés sont enthousiastes à l’idée de commencer la journée. Ces ondes positives profitent à tous : en réduisant le stress, on améliore l'état physique et psychologique de chacun. De plus, ces préoccupations entraînent logiquement une meilleure santé.
Par exemple, si vous vous souciez particulièrement de la qualité de vie des employés polyvalents d’un restaurant, vous pouvez être amené à changer vos produits d’entretien, afin de les encourager à mobiliser les solutions enzymatiques ENZYNOV.
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La réduction du risque chimique fait partie intégrante du plan de santé au travail. Mais pour que chacun se sente mieux chaque jour dans son environnement professionnel, d’autres initiatives sont possibles, du côté du management ou de l’offre de services, par exemple.
Au cœur de cet axe stratégique intimement lié à la qualité de vie au travail, on trouve également des objectifs relatifs à la désinsertion professionnelle, contre laquelle il faut se battre pour un maintien en emploi. Et d’une façon plus générale, l’action transversale reste préconisée pour que l’environnement de travail soit favorable à la santé : les institutions procèdent main dans la main pour réduire tous les facteurs qui contribuent à l’augmentation de risques d’accidents ou de maladies professionnelles.
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