Femmes de ménage, exposition aux détergents toxiques : un métier à haut risque !
On parle très souvent des risques physiques associés au métier de femme de ménage : les douleurs au dos, qui surviennent généralement dès le début de la carrière, ont tendance à devenir chroniques.
Mais on oublie les conséquences liées à l’usage quotidien de détergents toxiques.
En effet, chaque jour, ces professionnelles manipulent des préparations en tous genres, composées de benzène, d’éther de glycol ou encore d’acétone : quels sont les impacts sur leur santé ?
Est-il possible de réduire — ou de supprimer — ces risques en optant pour de nouvelles solutions, comme les produits d’entretien enzymatiques ? Risque chimique pour les femmes de ménage : quel impact sur la santé ?
Ces substances que l’on trouve dans les détergents toxiques et autres produits d’entretien.
La médecine du travail effectue déjà de la prévention autour des troubles musculo-squelettiques dont souffre la grande majorité des femmes de ménage. Mais qu’en est-il du risque chimique, sachant qu’elles manipulent pendant de nombreuses heures des détergents toxiques ?
À titre d’exemple, un simple anticalcaire contient des ingrédients comme l’EDTA, le sel tétrasocique ou encore les polycarboxylates. Ces détergents toxiques peuvent irriter les yeux et la peau, sans compter qu’ils sont parfois à l’origine de problèmes intestinaux.
En parallèle, beaucoup de formules incluent le formaldéhyde, un composant déjà classé comme « cancérogène certain » par le Centre international de recherche sur le cancer (Circ).
Les détergents toxiques ne sont pas les seuls éléments pointés du doigt. Les désodorisants, eux aussi, représentent un risque certain. Ils peuvent dégager du styrène, une substance neurotoxique et jugée comme « cancérogène possible ».
D’autres incluent du toluène, également neurotoxique et très irritant pour les yeux et les voies respiratoires.
Des conséquences graves déjà observées chez les femmes de ménage
Selon Nicole Le Moual, épidémiologiste à l’Inserm, plusieurs études ont déjà mis en avant que l’usage de détergents toxiques, comme l’ammoniac ou l’eau de javel, pouvait accélérer — ou aggraver — le développement de maladies chroniques et potentiellement mortelles comme l’asthme.
D’une façon très générale, les industriels imaginent des produits d’entretien toujours plus efficaces, plus pratiques, multi-usages, qui agissent vite et permettent de retirer les traces les plus récalcitrantes. Mais les efforts sur la composition restent insuffisants pour impulser une amélioration significative des conditions de travail.
Pire encore, dans cet univers où les contrats de travail sont souvent précaires, là où les salariées sont soumises à des obligations de résultat particulièrement strictes, on note même une inconscience face aux dangers des détergents toxiques.
Par exemple, le port du masque n’est pas systématique, parce qu’il peut limiter la productivité, en compliquant la respiration rapide indispensable pour réaliser un effort physique.
Les gants, de leur côté, n’offrent pas autant de liberté de mouvement et font perdre du temps.
Les femmes de ménage sont donc contraintes à prendre des risques avec les détergents toxiques, pour réussir à faire le travail souhaité en respectant le planning.
Peut-on changer les habitudes et supprimer les détergents toxiques ?
Le métier de femme de ménage est — et restera — une profession complexe, pour laquelle il est nécessaire d’avoir une bonne condition physique et une certaine résistance au stress. Toutefois, en misant sur les produits d’entretien enzymatiques, on peut abandonner définitivement les détergents toxiques. De cette façon, on réduit considérablement les risques au travail, pour ces employées déjà exposées aux douleurs musculaires et articulaires !
Concrètement, les produits d’entretien enzymatiques offrent des résultats encore plus probants que les détergents toxiques, car ils ont un effet ciblé. Contrairement aux solutions multi-usages que nous sollicitons pour des travaux divers et variés, ils ont été pensés pour une action spécifique. Ils peuvent désinfecter, nettoyer, supprimer les mauvaises odeurs, retirer le calcaire, rénover, etc.
Sur le plan technique, ils n’imposent aucune contrainte : le port du masque ou des gants n’est pas obligatoire, car les solutions enzymatiques ne représentent aucun risque pour l’homme, elles sont conçues à base de protéines naturellement présentes dans notre environnement. De plus, elles n’ont pas d’impact écologique : elles ne polluent pas notre planète.
Il existe des solutions pour que le quotidien des femmes de ménage soit moins difficile : elles parviendront plus facilement à effectuer leur travail grâce aux produits d’entretien enzymatiques, qui sont très efficaces et très concentrés, pour lesquels il n’est pas nécessaire d’utiliser des quantités importantes. Elles n’auront plus de risque d’intoxication, d’irritation ou de crise d’asthme à cause de détergents toxiques.
Les entreprises sont invitées à se rapprocher d’ENZYNOV pour mieux connaître ces solutions d’entretien respectueuses de l’homme et de la planète tout en adoptant une démarche RSE.
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