Dans l’univers des transports, comment diminuer son impact énergétique et son empreinte carbone ?
Le secteur du transport, regroupant simultanément le maritime, le ferroviaire, l’aérien et le routier, est le plus gros consommateur d’énergies. En France, 25 % des émissions de gaz à effet de serre proviennent directement du transport routier.
L’empreinte carbone n’est pas la seule problématique écologique dans ce milieu, car les nettoyages de véhicules font aussi partie des éléments qui nuisent à la planète (usage de détergents polluants, dépenses conséquentes en eau). Aujourd’hui, les entreprises ont conscience qu’elles doivent réorienter leurs politiques de développement, en tenant compte d’enjeux environnementaux.
Réduire l’empreinte carbone du secteur des transports : une priorité !
Toutes les entreprises peuvent prendre des initiatives pour mieux contrôler leur empreinte carbone. Cette préoccupation ne concerne pas uniquement les professionnels du transport, mais toutes les structures qui doivent gérer des déplacements de salariés. Dans cette optique, plusieurs sociétés lancent des PDE (Plan de Déplacement des Entreprises), afin de favoriser autant que possible les alternatives à la voiture individuelle, quand il s’agit de partir en prospection, d’aller à un congrès ou encore de se rendre en clientèle, par exemple.
Un organisme qui oriente son PDE peut bénéficier d’aides comme l’indemnité kilométrique vélo, exonérée de cotisations sociales, pour tous les salariés qui réduisent leur empreinte carbone en venant au bureau à vélo.
Dans le domaine du transport routier, travailler sur l’empreinte carbone reste une priorité, car les conséquences de sa hausse année après année sont dramatiques pour la planète. La Directive Eurovignette a été spécialement pensée par l’Union Européenne pour accompagner chaque pays dans une meilleure organisation des transports, toujours dans le souci de réduire l’empreinte carbone.
Au niveau des péages, par exemple, on vise une augmentation des taxes, prenant en compte les émissions de polluants des véhicules lourds, mais aussi la pollution sonore qu’ils provoquent. Il ne s’agit pas d’une mesure forcément discriminante, car les poids lourds les plus respectueux de la planète (roulant à l’électrique ou conformes à des normes écologiques précises) payeront moins cher à chaque péage.
L’objectif n’étant pas de pénaliser uniquement les véhicules pollueurs, on préfère soutenir le développement d'alternatives propres, qui participent à la baisse des émissions de gaz à effet de serre. À l’horizon 2030, la France a pour projet de faire reculer ces rejets de 40 % par rapport à celles de 1990.
Nos entreprises se lancent dans la mission réduction de l’empreinte carbone !
Face aux objectifs nationaux et européens concernant les émissions de gaz à effet de serre et l’empreinte carbone des véhicules, plusieurs entreprises ont déjà pris les devants. C’est le cas des Galeries Lafayette : dans le cadre de sa démarche RSE globale, elle a repensé tout son schéma de distribution, en partant du principe que « le camion qui pollue le moins est celui qui ne roule pas ».
Concrètement, la société cherche à engager le moins de véhicules possible sur les routes, pour limiter le nombre de kilomètres effectués et restreindre logiquement l’empreinte carbone. D’autres initiatives ont été prises pour optimiser le remplissage de chaque camion — ou encore mieux orchestrer les livraisons entre chaque entrepôt.
En outre, Galeries Lafayette a testé les livraisons avec des véhicules propres, roulant au GNV, dans le centre de Paris. À terme, l’objectif est d’utiliser 100 % de véhicules de ce type sur Paris, tout en recommandant cette même pratique dans les autres agglomérations où la marque est présente.
Le nettoyage des véhicules, une autre source de pollution à combattre
On y pense moins souvent, mais le nettoyage des véhicules de transport n’est pas sans impact sur la planète. Les marques veulent logiquement entretenir une belle image, ce qui implique de rouler à bord de véhicules nettoyés régulièrement. Pour cela, il faut utiliser beaucoup d’eau, puis rejeter dans la nature des détergents et autres cires lustrantes nocives pour la planète.
En ce sens, dans le cadre d’une démarche RSE globale et de l’optimisation de l’empreinte écologique de chaque entreprise, on peut aussi prendre des initiatives pour un lavage « propre », respectueux de notre écosystème. Pour cela, l’usage de produits d’entretien enzymatiques est fortement recommandé.
Conçus avec des protéines naturellement présentes dans l’environnement, ces nettoyants résultent de nombreuses années de recherche : aujourd’hui, ils s’imposent comme des solutions totalement respectueuses de la planète, qui ne se diluent pas dans l’eau, qui n’ont pas d’impact sur l’écosystème et qui ne représentent pas de risque pour l’humain (irritations, brûlures, etc.).
Chaque produit d’entretien enzymatique développé par ENZYNOV vise un objectif ciblé. Il a été testé et optimisé afin de produire des effets rapidement, sans effort physique trop important, sans frotter, sans risquer d’user la surface. On peut solliciter ces produits aussi bien pour le nettoyage des plastiques à l’intérieur du véhicule que pour laver la carrosserie à l’extérieur. Vous souhaitez les adopter pour votre société ? Contactez-nous pour en savoir plus !
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