« Battle lexicale » dans le secteur de l’alimentation

Non vous ne rêvez pas, nous parlons bien aujourd’hui de « Battle Lexicale » en Food Service – et vous ne savez pas forcement à quoi cela fait référence ! Alors si je vous dis « Casser la croute », « passe-moi le beurre », « être un cordon bleu » …

Mais la guerre des mots ne se limitent pas aux expressions, il s’agit d’une vraie battle entre les carnés et les végétariens où chacun cri à l’abus de langage.

Alors que le camp des « végés » surfe sur la vague du healthy, du bio, du sans viande, sans protéine végétal et autre « no… », on voit apparaitre en parallèle des Bolognaises végétariennes, du jambon végan, du foie gras végan et autres plats de fêtes… Mais le camp des carnés n’a pas dit son dernier mot et la contre-attaque s’avère « redoutable ».

 

Revenons ensemble sur les motivations de cette guerre des mots en alimentation. Est-ce que les traditionnels steak-frite ou burger auront le dernier mot face à la salade quinoa grenade au fromage végan …

 

 

Les carnés défendent l’usage des mots et expressions en bon et due forme !

Du foie gras végan, par définition une oxymore et hérésie pour les carnés qui s’offusquent de cette appellation et veulent défendre le foie gras.

 

Au même titre que la moutarde de Dijon ou le champage est une marque, et qu’on parle dans d’autres endroits du monde de cava, mousseux, pétillants… le foie gras par essence ne peut pas être végan pour les carnés.

 

En croisade contre les abus de langage, ils ont sorti un tee-shirt « j’aime mon bœuf » et pour aller plus loin, contre le « lundi vert », les défenseurs de la viande avaient appelé à un « samedi rouge » en janvier.

 

C’est d’ailleurs à cette occasion qu’Interbev (l’Association Nationale Interprofessionnelle du Bétail et des Viandes) expliquait qu'aujourd'hui la consommation en viande rouge des Français est de 320 grammes par personne et par semaine, soit une quantité bien loin des préconisations de santé publique qui sont de 500 grammes de viande rouge cuite par semaine hors volaille.

 

 « La viande contribue à structurer le repas car elle ne se mange pas seule : elle s’accompagne de légumes ou de féculents dont les apports en nutriments sont complémentaires » ajoutait Interbev dans son communiqué.

 

Le recul de consommation touche surtout la viande bovine. En cinq ans, elle a baissé de 6,5%, chaque Français ne consommant plus que 22,8 kilos de steaks et de pot-au-feu par an en 2017 contre 24,4 kilos en 2012, selon les statistiques de l’Institut de l’Élevage (Idele).

 

Néanmoins la viande reste quand même la plus consommé au sein des restaurant avec en tête le bœuf suivi des volailles et du porc.

 

Pour pallier cette baisse générale de la consommation de viande, les professionnels de la filière mise sur l'élevage extensif et herbager, sur le développement du steak haché haut de gamme ou de la viande maturée.

 

Les végétaliens et végétariens ne se laissent pas faire

Après avoir lancé le fromage végan faisant là aussi bondir les professionnels de l’alimentation, les végétaliens, ont inventé le « fauxmage » pour définir un type de « fromage » à base de plantes.

 

Certains restaurants végétaliens/végétariens comme LOV se sont fait reprocher le fait d’utiliser des mots comme crème, fromage, carpaccio, tartare…

 

Qui a dit que les mots carpaccio ou tartare mot appartenait au bœuf ou au thon ? Les végétaliens/végétariens se défendent de pouvoir utiliser ces mots.

 

Autre exemple à l’international avec une Fromagerie végétalienne qui s’est vu notifié par l’Agence canadienne d’inspection des aliments l’interdiction d’employer le terme « fromage » pour désigner ses produits.

 

En ce moment, on assiste vraiment à une guerre des mots entre deux mondes : celui de la protéine animale et celui de toutes les autres sources de protéines.

 

Réconcilier des deux !

 

Et si tout simplement chacun se concentrait sur ses clients sans regarder ce que fait l’autre ?

 

Les végétaliens/végétariens sont un marché bien spécifique répondant non pas uniquement à des attentes et besoins en matière alimentaire, mais c’est tout un mode de vie qui est repensé. On y associe souvent le healthy, le bio, … pourquoi avoir du saumon végan ne serait-il pas possible ou du foie gras sans canard aussi ? Faut-il dans ce cas indiqué « imitation Foie Gras » ? Qui cela dérange le plus et en quoi cela dérangerait les carnés ?

 

Du côté des carnés, des produits de meilleurs qualité, une traçabilité parfaite des produits et moins de scandales alimentaires sur la viande pourrait également rebooster la consommation et la confiance des consommateurs qui nous vous le rappelons sont préoccupés à 67% par la sécurité alimentaire

 

Enzymes pour végétaliens/végétariens et carnés en nettoyage !

 

Chez Enzynov, nous ne faisons pas de différences et nous accompagnons aussi bien les établissements bio, carné, végan, végétariens, et autres spécificités dans la bio-maintenance enzymatique.

 

Concrètement, fort de notre maitrise de 151 enzymes de synthèse, nous proposons 24 solutions enzymatiques respectueuses de la santé des Hommes et de l’Environnement.

 

Du détartrant au dégraissant en passant par le détergent universel ou l’assainisseur d’air vous trouverez des solutions répondant à vos attentes.

 

De plus les avantages des solutions enzymatiques sont multiples :

 

Gain d’eau, de temps et d’énergie : nos enzymes sont ciblées et capables d’agir sur un substrat bien défini. Le but ? Agir plus rapidement en réduisant considérablement votre action mécanique et votre consommation d’eau.

 

Efficacité du nettoyage : nos enzymes facilitent et accélèrent la transformation des substrats en microparticules solubles dans l’eau. Votre bionettoyage est ainsi plus efficace et plus puissant que si vous utilisiez des produits chimiques.

 

Préservation et protection du matériel : nos enzymes ne sont ni corrosives ni érosives des matériaux traités. Elles vous permettront de rénover et de redonner la brillance aux surfaces et matériels.

 

Économies à l’utilisation : conscients qu’il est important aujourd’hui plus que jamais de rationaliser les coûts ; toutes nos solutions sont ultraconcentrées pour une action immédiate et rapide. A vous les économies sur la quantité de produit utilisée à chaque session de nettoyage.

 

Sécurité et santé de l’utilisateur : nos solutions sont éco-responsables limitant ainsi le risque de brûlure. De plus elles ne contiennent pas de COV.

 

Respect de l’environnement :  nos solutions sont enzymatiques, elles sont écologiques et biodégradables à + de 90%. Vous pouvez ainsi les utiliser tout en respectant l’environnement.

 

https://www.enzynov.fr/pros/boutique

 

Sur le même sujet :